Vive, douce, naturelle ou électrique ? Directe ou indirecte ? Ponctuelle ou diffuse Quelle lumière pour embellir vos intérieurs, moduler les volumes et effacer les petits défauts ?
À chaque pièce sa lumière !
Salle à manger
La contrainte est d’éclairer suffisamment la table. Le choix peut se faire, selon l’ambiance souhaitée, entre un éclairage ponctuel circonscrit à la table ou une lumière diffuse élargie à tout l’espace repas. Pour un éclairage général, on s’orientera vers un plafonnier plaqué ou une suspension.
Cuisine.
L’éclairage général est aussi de rigueur, de même que de petites suspensions localisées sont préconisées.
Salon
Il faut prévoir une lumière modulable selon les circonstances et multiplier les sources de lumière indirecte grâce à de nombreuses lampes de faible puissance. On peut également compléter par un lampadaire halogène. Pour un salon bar à l’américaine, les éclairages encastrables à faisceau orientable assurent de manière discrète et architecturale la partie fonctionnelle, que des objets décoratifs complèteront : une liseuse en verre de Murano, ou une lampe conçue comme objet. Pour un salon boudoir, lieu dévolu à l’imaginaire et à la création, des ampoules à bas voltage mobiles, modifiant ainsi l’atmosphère avec une rare facilité.
Chambre
On choisira un éclairage indirect et doux, plus relaxant, auquel on ajoutera une lampe de lecture plus puissante. D’où cette combinaison : deux appliques situées de part et d’autre du lit (on les préfèrera à pampilles) ; et deux lampes de chevet, plus classiques, ou bien des lampes de bureau détournées pour l’occasion. Un bel abat-jour peut également apporter beaucoup. En plus d’être objet décoratif, il canalise, oriente et colore la lumière. On l’agrémentera d’une ampoule décorative à incandescence, dont les formes et couleurs valorisent le luminaire tout en créant une belle ambiance : rétro, colorées, « flammées », il y en a de toutes sortes.