Environnement et Immobilier : risques et facteurs de dépréciation

L’environnement est à prendre en considération dans l’immobilier. Une étude révèle que les risques environnementaux et les plans de prévention peuvent avoir un effet dépréciateur sur les paramètres immobiliers.

L’environnement est un facteur important dans le choix de l’immobilier

La beauté de l’environnement joue un rôle dans le choix de l’immobilier. Certains préfèrent les rives d’un fleuve tandis que d’autres choisissent le littoral. Ces lieux présentent toutefois des problèmes environnementaux pour un logement. En métropole, les principales catastrophes liées à l’environnement sont principalement les débordements et les séismes. Le risque le plus fréquent reste l’inondation ; en France une commune sur deux est en zone inondable.

L’étude des risques sur les biens immobiliers

Les ménages, vu les dommages matériels et les conséquences traumatiques que peut causer un déluge, s’attendent à ce que le prix médian de l’immobilier dans ces zones difficiles soit abordable. Néanmoins, cela ne semble pas être le cas, l’étude révèle que le danger d’inondation n’a pas influencé les paramètres immobiliers dans ces endroits. Le Commissariat général au développement durable explique que cette problématique est due au manque d’informations mises à disposition des potentiels acheteurs.

Concilier valeur de la pierre et phénomènes naturels

L’État vise à sensibiliser les résidents sur l’influence de leur environnement. Par rapport à une crainte de dévalorisation de leurs logements, les ménages situés dans des lieux à risque pourraient ne pas accueillir favorablement cette initiative d’information. L’investissement immobilier est un projet majeur pour les particuliers, ce qui nourrit une crainte liée à une possible érosion des prix.

Environnement et immobilier, les aides du gouvernement

L’objectif de l’État est d’harmoniser l’immobilier avec le respect de l’environnement. Des aides ont été mises en place afin d’encourager les citoyens à faire des travaux d’habitation. Ces réfections rentrent dans le cadre de la rénovation écologique, qui porte sur la source de chaleur et les surfaces isolantes. Les économies d’énergie et le possible crédit d’impôt contribuent à amortir les frais des travaux.

Source : gouv.fr