Même si la dynamique capitale du Languedoc suscite toujours autant d’enthousiasme, les prix de l’immobilier montpelliérain sont redevenus plus sages. C’est le bon moment pour y dénicher la location ou la maison de ses rêves car les marges de négociations sont devenues plus larges.
Une ville en mutation, des prix immobiliers en cours d'évolution
Entre les rénovations du centre-ville, l'extension du réseau de tramway et la poussée régulière d'immeubles et de nouvelles résidences à la périphérie de la ville, Montpellier est en pleine mutation.
Progressivement, le cœur de la cité se déplace vers l’est (Antigone, Richter), comme en témoigne l’installation prochaine de la mairie à côté du port Jacques-Cœur.
A l’ouest, les programmes neufs ont le vent en poupe, notamment dans le nouveau quartier Ovalie, à proximité du stade de rugby.
Résultat, les appartements anciens voient leur prix baisser ; mais à l’inverse, les terrains, convoités par les promoteurs, deviennent plus chers.
Acheter dans les villes alentours
Les communes voisines, où les belles maisons et les terrains sont abondants (Castelnau-le-Lez, Assas, Teyran, Clapiers, Montferrier, Saint-Gély-du-Fesc ou Saint-Clément-de-Rivière) sont donc une alternative de plus en plus appréciée.
Les quartiers les plus recherchés
Face à cette modernisation, le cœur historique de la ville, aux beaux immeubles anciens, connaît des prix forts : avec son ambiance bohème, la partie est de la ville (Boutonnet, les Beaux-Arts), mais également le quartier résidentiel d’Aiguelongue, affichent les prix immobiliers les plus élevés (jusqu’à 3 300 € le m²).
Même chose dans le nord de la ville où la demande d’appartements est forte en raison de la proximité des universités.
Les quartiers les plus abordables
Les amateurs d’anciens peuvent également se tourner vers les quartiers Méditerranée, Figuerolles ou Gambetta où les prix, à la vente comme à la location, sont plus abordables.