Automobile : l'Eco Entretien rassemble plusieurs organisations automobiles

L’Eco Entretien réunit plusieurs entités du monde automobile autour d’une ambition environnementale en 2016. Un acte a été signé afin d’« impulser un élan déterminant dans le déploiement » de ce programme.

Une nouvelle initiative automobile pour l’Eco Entretien

Plusieurs organisations du monde automobile se réunissent autour d’une démarche environnementale en 2016. Elles ont signé le 27 juillet la charte constitutive de l’Association Eco Entretien (AEE). Cette signature fait suite à la publication du Décret n° 2016-812 du 17 juin 2016 portant application de l’article 65 de la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte.

Implication de plusieurs organisations automobiles et d’experts du secteur

L’Association Eco Entretien réunit la FEDA (Fédération des Syndicats de la Distribution Automobile), la SPP (Syndicat des Professionnels du Pneu) ainsi que la FNAA (Fédération Nationale de l’Artisanat Automobile). Les réseaux et enseignes automobiles Vulco, Speedy, Mobivia Groupe, First Stop, Groupe Laurent, Autolia Group, Autodistribution et Alliance Automotive Group en font aussi partie. Ils sont accompagnés, dans ce programme, par Jacques Rifflart et David Deregnaucourt, des experts engagés dans le développement du concept automobile.

L’objectif du nouvel acte

Tout organisme syndical automobile souhaitant participer à l’Eco Entretien peut rejoindre l’initiative. Ils devront rejoindre l’AEE (type loi de 1901) dont la charte constitutive a pour but d’encourager le développement du protocole Eco Entretien auprès des professionnels du secteur. Il s’agit de « répondre dans des conditions de qualité strictement encadrées par un référentiel de labellisation, aux demandes de remises aux normes des véhicules […] », est-il précisé dans un communiqué commun.

La maintenance des véhicules pour un but environnemental

Il est prévu que l’Eco Entretien permette un rehaussement significatif de la qualité de l’air dans les agglomérations. Ceci sera possible à travers la réduction (en cycle Artemis) de 900 tonnes de particules, 18 000 tonnes de NOX ou encore de 733 000 tonnes de CO2.

Source : feda.fr