Le géant Google démontre, avec des tests, que sa voiture autonome reconnaîtles enfants. De plus, la société explique ne pas faire confiance à la conduite semi-autonome.
Avec sa voiture autonome, Google n’oublie en aucun cas les enfants et met au point un véhicule qui fait plus attention aux petits. Ainsi, pour Halloween, les enfants ont mis la voiture autonome du géant américain à l’épreuve avec leurs déguisements. Dans le même temps, Google en a profité pour expliquer pourquoi la conduite semi-autonome peut être dangereuse.
Des voitures qui récoltent des infos sur les petits
Voici donc comment les tests ont été effectués. L’on a demandé aux enfants déguisés de passer auprès d’une voiture de Google stationnée, afin que celle-ci recueille des informations quant au comportement des petits. Il semblerait donc que la voiture ait la possibilité de reconnaître les enfants et, ainsi, d'adapter la conduite en tenant compte des agissements spontanés de ces derniers.C’est un très grand avantage, car le véhicule a été programmé pour être plus prudent auprès des bambins.
Google ne fait pas confiance à la voiture semi-autonome
D’autre part, Google a aussi donné des explications quant à sa réticence face aux véhicules semi-autonomes comme ceux de la marque Tesla. En 2012, des salariés ont été choisis pour effectuer des tests à bord d’une voiture autonome. Il a été observé que certains conducteurs se laissaient distraire, car ils faisaient trop confiance aux technologies. Par exemple, l’un d’entre eux s’est même retourné pour prendre son PC portable afin de charger son téléphone.
Pilotage semi-autonome : l’attention du conducteur toujours requise
Google rappelle donc que la voiture semi-autonome nécessite tout de même la concentration du conducteur, car celui-ci peut être appelé à intervenir en cas d’urgence. C’est pour cette raison que le géant américain préfère plancher sur des véhicules 100 % autonomes. Il faut aussi noter que les 48 Google Car mises sur les routes n’ont eu aucun accident le mois dernier.
L’étude de l’institut des transports pour appuyer cette idée
Enfin, comme Google, une autre enquête réalisée par l’institut des transports de Virginia Tech s’est penchée sur le même sujet. Elle révèle qu’il faut entre 5 et 8 secondes à un chauffeur pour qu’il reprenne les rênes d’une voiture semi-autonome. Une autre raison qui explique pourquoi ces voitures sont moins fiables.
Fautes de frappe : gogle, googl, voitur, voture
Martine Bonnet
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