L’apparition du Land Rover Velar remonte à 2017. Ce nouveau « Range » de luxe se distingue par son comportement davantage typé SUV. Afin de répondre aux sollicitations de la concurrence, le constructeur prévoit certaines modifications à apporter, notamment sous le capot.
Land Rover Velar : le début du succès
Avec le Velar, Land Rover est passé tout près d’obtenir le titre de voiture de l’année en 2017. L’entreprise britannique a fait un choix particulier pour ce véhicule. Le comportement routier a été voulu proche de celui d’une voiture, avec davantage de réactivité aux commandes. L’objectif est d’atteindre le niveau de BMW ou Porsche dans ce domaine.
Les modifications fournies au SUV par le constructeur
L’ambition de viser avec le Velar des concurrents prestigieux a amené Land Rover a revoir les moteurs disponibles pour ce tout-terrain. L’arrivée d’un nouveau diesel (D 275) fait partie des modifications majeures. Ce six cylindres en V de 3 litres développe 275 ch pour 625 Nm de couple. La consommation annoncée par le constructeur est de 5,5 l aux 100 km.
Le confort et la tenue de route du tout-terrain améliorés
Land Rover revoit à la hausse les options proposées avec le SUV en équipant de série tous les Velar d’amortisseurs à spirales. Afin d’améliorer le confort du véhicule, la suspension pneumatique est disponible en option. Cela concerne les modèles V6 ainsi que les 4 cylindres D 240 et P 300. Certains modèles recevront même un système d’amortissement adaptatif.
Le Velar entre autonomie et respect de l’environnement
Si l’on en croit Land Rover, la nouvelle motorisation diesel ne devrait émettre que 175 g de CO2 par kilomètre. De même, l’ensemble de la gamme sera équipé de filtres à particules pour réduire son empreinte. Enfin, avec un réservoir de 83 l, les P 250 et P 300 pourront parcourir une distance plus élevée entre chaque plein.
David Lefebvre
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