Prix de l'immobilier - quelle tendance pour les grandes villes ?

Le prix de l’immobilier neuf est soumis à des variations dans les grandes métropoles. Une étude menée par Trouver-un-logement-neuf.com lève le voile sur les statistiques.

Si la Fédération des promoteurs immobiliersprônait la stabilité des valeurs de l’immobilier, la réalité est toute autre. L’enquête montre que les propositions de certainesvilles diffèrent beaucoup de celles qu’on peut retrouver ailleurs.

Le palmarès selon la valeur des T3

Paris se classe au top de ce classement où ce type de bien immobilier peut être acquis pour 645,000 euros. Ensuite, on retrouve Nice, qui affiche un prix de 311,000 euros pour un trois-pièces neuf. Lyon 3e propose 288,000 euros. Pour les villes les moins chères, on retrouve Lille (203,000 euros) à la première place, suivi de Strasbourg (205,000 euros). Pour terminer, Toulouse complète le podiumavec 208,000 euros.

Les métropoles où le prix des biens immobiliers a baissé

La capitale enregistre une chute de 1,23 % sur 6 mois. Idem à Nice, où le prix de l’immobilier nouveau a baissé de 2,81 % pour la même période et de 6,04 % sur un mois. Dans le nord, la tendance se confirme avec une diminution à hauteur de 1,93 % sur 14 mois à Lille. À Nantes, une décrue de 2,97 % est constatée sur un mois. Pour le chef-lieu de la région aquitaine, les prix affichent une dégénérescence de 3,08 % en novembre.

Quelles agglomérations enregistrent une augmentation ?

Lyon fait toujours face à la flambée des prix de l’immobilier. Sur 6 mois, le plus grand port de France témoigne d’une hausse de 2,49 % et sur le mois de novembre, la remontée est à hauteur de 0,35 %. Même si Toulouse reste raisonnable au niveau des prix de l’immobilier, la hausse des sommes est au rendez-vous, car les coûts des trois-pièces ne cessent de croître. À Strasbourg, l’augmentation est constatée à hauteur de 0,49 % sur 6 mois.

La fluctuation des coûts dans le secteur immobilier

L’enquête sur l’immobilier fait ressortir l’oscillation des prix qui s’opère notamment à Bordeaux, à Marseille et dans la capitale alsacienne. La réalité s’éloigne donc considérablement d’une uniformisation.

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