En France, l’État a mis sur pied quelques plans de financement pour inciter les ménages à réaliser des travaux de rénovation dans leur logement. Les différentes subventions telles que l’éco-PTZ (éco-prêt à taux zéro) sont accordées sous certaines conditions de ressources.
Plusieurs subventions ont été élaborées pour encourager la rénovation énergétique des logements. Par exemple, une des aides financières disponibles est la TVA réduite. Les propriétaires occupants bénéficient d’un taux de 5,5 % pour les travaux permettant de baisser la consommation d’énergie. Des associations telles que l’Anah (Agence nationale de l’habitat) prêtent main-forte à l’État. Des dispositifs comme le programme « Habiter Mieux » soutiennent la démarche du gouvernement.
L’éco-PTZ est valable jusqu’au 31 décembre 2018. Ce prêt permet à un propriétaire occupant de profiter d’un montant maximal de 30 000 euros. Avec cette somme, les bénéficiaires doivent engager des professionnels RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) pour la réalisation des travaux. D’autres subventions, notamment le CITE (crédit d’impôt pour la transition énergétique) et la prime « coup de pouce », sont valides jusqu’au 31 décembre 2017. Ces allocations ne sont pas soumises aux conditions de ressources.
Les subventions accordées financent certains travaux de rénovation. Le changement de chauffage, l’installation du système soleil combiné (SSC) et des volets roulants en sont quelques exemples. La pose de panneaux photovoltaïques et l’achat de matériaux d’isolation sont également couverts par les aides financières proposées. Les travaux de rénovation incluent l’application de pompe à chaleur.
Les subventions sont accueillies favorablement en France. Presque la moitié des bénéficiaires sont d’avis que les allocations ont influencé leur décision quant à la réalisation des travaux de rénovation.
Source : logement.gouv.fr
2e Source : habitatpresto.com
Guillaume chauvard