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Ségolène Royal et Emmanuel Macron ont présenté un projet de loi sur la transition énergétique au Conseil des ministres le 03 août 2016. L’introduction de cette législation facilitera les essais des véhicules autonomes sur les routes.
La transition énergétique, une loi pour la conduite automatique
Le gouvernement a établi des règles sur la transition énergétique pour faciliter les contrôles effectués sur les véhicules autonomes. L’État s’est concentré sur ce projet, car la voiture à délégation de conduite est perçue comme une révolution de la mobilité. À l’avenir, elle permettra de réduire le temps du parcours et l’utilisation du carburant, mais le plus important, c’est qu’elle rendra les voiries plus sûres.
Une loi pour sécuriser les usagers de la route
Comme les essais de ces autos sont de plus en plus fréquents sur les voies publiques en France, l’introduction de la transition énergétique a pour but de protéger les usagers. Du moment que la sécurité sur les routes n’est pas bafouée, l’article 37 de cette clause autorise donc leur circulation, « qu’il s’agisse de voitures particulières, de véhicules de transport de marchandises ou […] de personnes, à des fins expérimentales ».
Un cadre juridique pour contrôler les autos automatisées
L’entrée en vigueur de la transition énergétique s’inscrit dans le plan industriel « Voiture Autonome » de la Nouvelle France Industrielle. L’Hexagone veut faire partie des pays qui ont contribué à l’avancement des voitures autonomes et l’application de cet accord est importante pour assurer un bon déroulement sur l’ensemble des réseaux routiers.
La transition énergétique contribue au progrès d’une nouvelle mobilité
De manière générale, la clause sur la transition énergétique présentée au Conseil des ministres est dans l’intérêt des automobilistes. De surcroît, le progrès du véhicule autonome est bénéfique, car, sur un plan sécuritaire, il contribuera à réduire le nombre d’accidents.
Source : developpement-durable.gouv.fr
David Lefebvre
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