Suzuki Burgman 125 : notre essai

 
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Depuis 2003, le Suzuki Burgman truste les podiums des ventes de scooters 125 de l’hexagone. Il était temps qu’il se refasse une petite beauté, ce qui a été fait en 2007, où le Burgman a connu une refonte de son design et de ses dessous. Pour 2008, des détails sont revus mais il est parti pour quelques années de succès.

 
Encore plus pratique
 
Suzuki_UH125_Burgman_3
Lors de son gros restylage en 2007, le Burgman 125 a conservé les recettes qui en ont fait un scooter qu’on croise à tous les coins de rue ou presque. Design, équipement, moteur, il a changé sans renier son passé ni son comportement de GT qui sait se faufiler quand le besoin s’en fait sentir.

Le modèle 2008 conserve ces modifications qui rendent le Burgman moderne. Pour commencer, la selle a gagné 3 cm en 2007, rendant la position plus agréable et les véhicule toujours aussi accessible.

Les ouvertures sur les côtés du plancher permettent par exemple de poser ses pieds au sol sans aucun problème, rendant le Burgman facile à manœuvrer quelque soit le gabarit du conducteur.

Pour ajouter au confort, la selle dispose d’un petit dosseret, qui même s’il est petit, permet un bon calage du postérieur.

En selle, on constate d’abord que le tableau de bord n’est malheureusement pas passé au digital, alors que tous ses concurrents oui. S’il reste lisible pour les informations les plus importantes, il fait quand même encore un peu « vieillot ».
Au centre, un grand tachymètre affiche également l’heure et les totaliseurs kilométriques (total et partiel).
À gauche il y a une jauge de température ; et à droite, une jauge à essence. C’est tout !
Concernant les voyants, clignotants, pleins phares, huile et injection sont présents. Ce niveau d’équipement et sa qualité ne jouent pas en faveur du scooter Suzuki.

Là où le Burgman se rattrape, c’est en revanche sur les rangements, qui sont nombreux et bien pensés. Le conducteur a à sa portée un grand rangement équipé d’une prise allume-cigares mais aussi de deux vide-poches sur les côtés. Le coffre sous la selle est simplement immense, avec la possibilité de mettre deux casques intégraux dedans, ou un ordinateur portable dans sa sacoche, ou encore un gros attaché-case.

Au rang des regrets, la bulle protège bien, mais sans plus. On peut cependant aborder les longs trajets sans appréhension.
 


Un moteur et un comportement de GT
 
Suzuki_UH125_Burgman_1
Côté moteur, le Burgman est désormais équipé d’un échappement catalytique et d’une injection qui lui permettent de baisser ses émissions tout comme sa consommation, améliorant encore son autonomie car le réservoir d’essence passe de 10 à 11 litres.

Pour améliorer son comportement hors de la ville, Suzuki a doté son scooter d’une roue avant de 13 pouces contre 12 auparavant, ce qui améliore la stabilité. Le pneu arrière, plus large, contribue aussi à cette performance.

Pour permettre une meilleure sécurité, le Burgman est désormais équipé d’un freinage couplé avant/arrière.

Le comportement du Burgman est donc bonifié sur la route, avec de bonnes performances permettant de s’aventurer au-delà de la ville. Le moteur n’est pas un foudre de guerre, mais il est volontaire. La protection générale offerte par ce scooter permet quant à elle d’envisager de longues étapes sans fatigue et dans une sécurité optimale.

Ce millésime 2008 évolue donc dans le détail, mais ces détails contribuent à faire de ce scooter un véhicule encore plus attachant.
 

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