Certaines réparations locatives sont à la charge de l’acquéreur. Ces travaux sont stipulés dans le contrat de location, et si un locataire refuse d’assumer les factures, les propriétaires peuvent avoir recours à des mesures légales.
Les réparations locatives, l’intérieur et l’extérieur du logement
Les réparations locatives s’étendent aux parties intérieures et extérieures de la maison en location. Selon le décret de 1987, un preneur a la responsabilité de réparer les matériels mis à sa disposition, comme le réfrigérateur et entretenir le plafond entre autres. Il doit également s’occuper des parties extérieures dont il a la jouissance, par exemple tondre la pelouse.
La dégradation du logement pendant la location
Les locataires sont tenus de procéder aux réparations locatives pendant toute la durée du bail. Les dommages résultant de la négligence d’un preneur sont à sa charge. Par exemple, une porte enfoncée, un trou dans le mur ou encore si le parquet est abîmé. Le propriétaire peut déduire la somme de la réparation du dépôt de garantie si l’acquéreur refuse d’effectuer les travaux ou de les régler.
L’entretien de l’électricité par le locataire
Les réparations locatives incluent l’entretien des équipements électriques. Un preneur a la responsabilité de changer les interrupteurs, les ampoules, les tubes lumineux et les prises de courant s’ils sont défectueux. Les équipements mentionnés dans le contrat de bail pour les logements meublés sont également compris, tels que la machine à laver, la pompe à chaleur, le sèche-linge et la cuisinière.
Les réparations locatives, des lois pour plus de transparence
Le ministère a apporté des modifications à la loi Alur dans le but de sécuriser le logement. Pour éviter tous litiges concernant les réparations locatives, le gouvernement a amendé le contenu des contrats et de l’état des lieux. Désormais, des photos datées et signées doivent y figurer.
Source : service-public.fr
2e source : salons-immobilier.com
Florence Dupré